1001 façons d’écrire son rapport d’activités

Quand arrive la fin de l’année, on se dit, en tant que professionnel, qu’il va bien falloir écrire le rapport d’activités. Alors une série de questions se pressent dans les têtes : Par quel bout commencer ? Dire tout ? Que faudrait-il privilégier ? Le faut-il ? Et si écrire le rapport d’activités pouvait se transformer en un moment jouissif de relecture de l’année, du module… Et si on pouvait le faire avec les participants des groupes ?

Et si le rapport d’activités sortait de son carcan administratif, qu’il devienne créatif, unique, comme peut l’être l’expérience humaine et pédagogique vécue avec chaque groupe ?

Objectifs

Questionner le rapport d’activités dans sa forme, son contenu, sa portée, ses intentions, ses enjeux.
Questionner la place des participants des groupes dans l’écriture du rapport d’activités.
Réfléchir la relation « Théorie – Valeurs – Pratiques » dans le travail du formateur en alpha et en FLE.

Contenu

Expérimenter des dispositifs d’atelier pour alimenter l’écriture du rapport d’activités avec les participants de ses groupes.
Expérimenter des dispositifs d’ateliers, et divers formats d’écriture, pour raconter son travail.
Inventer quelques formes nouvelles de rapport d’activités.

Public

Formateurs débutants ou chevronnés en alpha et FLE, et toute personne intéressée par les pratiques de récit du travail.

Intervenantes

Anne Ferrard, écrivaine, bibliothécaire scolaire, formatrice d’enseignants, et animatrice d’ateliers d’écriture, et Pascale Lassablière (motsarts.be, animatrice d’ateliers d’écriture avec différents groupes (intergénérationnel, cohésion sociale, éducation permanente), avec des professionnels (travailleurs sociaux, formateurs ou enseignants) dans le cadre de la formation aux ateliers d’écriture et l’analyse du travail.